Le Festival International de Documentaire Jean Rouch consacre 3 jours au cinéma tibétain du 26 au 29 novembre à l’INALCO, nouvel auditorium, 65, rue des Grands Moulins, (métro Bibliothèque François Mitterrand), Paris 13.
archives pour novembre 2013
26 novembre 2013 Festival Jean Rouch et cinéma tibétain
Le Festival International de Documentaire Jean Rouch consacre 3 jours au cinéma tibétain du 26 au 29 novembre à l’INALCO, nouvel auditorium, 65, rue des Grands Moulins, (métro Bibliothèque François Mitterrand), Paris 13.
22 novembre 2013 Kunchok Tsephel
Kunchok Tsephel, 39 ans a été condamné à 15 ans de prison en 2009. Il avait été arrêté le 26 février 2009. Son crime : il aurait divulgué des secrets d’état sur son site internet (comprendre qu’en fait il a dû parler des événements de mars 2008). Kunchok Tsephel est le fondateur de Chodme (la lampe à beurre), un site dédié à la littérature tibétaine. J’ai rencontré il y a quelques années Kunchok en Amdo. C’est quelqu’un d’une gentillesse extrême dont le seul but est de défendre la culture tibétaine, notamment en offrant une plateforme d’expression aux poètes actuels. Au moment où je l’ai vu, il se désespérait de voir son site être régulièrement fermé par les autorités chinoises, soit sans un mot d’explication soit sous prétexte de problèmes techniques. Mais jamais il n’a renoncé à l’idée de promouvoir une culture tibétaine contemporaine.
Aujourd’hui, PEN America lance une campagne de mobilisation à son sujet.
Kunchok Tsephel, 39 ans a été condamné à 15 ans de prison en 2009. Il avait été arrêté le 26 février 2009. Son crime : il aurait divulgué des secrets d’état sur son site internet (comprendre qu’en fait il a dû parler des événements de mars 2008). Kunchok Tsephel est le fondateur de Chodme (la lampe à beurre), un site dédié à la littérature tibétaine. J’ai rencontré il y a quelques années Kunchok en Amdo. C’est quelqu’un d’une gentillesse extrême dont le seul but est de défendre la culture tibétaine, notamment en offrant une plateforme d’expression aux poètes actuels. Au moment où je l’ai vu, il se désespérait de voir son site être régulièrement fermé par les autorités chinoises, soit sans un mot d’explication soit sous prétexte de problèmes techniques. Mais jamais il n’a renoncé à l’idée de promouvoir une culture tibétaine contemporaine.
Aujourd’hui, PEN America lance une campagne de mobilisation à son sujet.